keywords forest boy, son of a cop, defund the police, melts for pretty girls in oversized t-shirts, outdoorsy guy, model looks, brainy, kind of a geek, sarcasm, rolling eyes, *sighs*, "whatever floats your boat", loves the smell of the rain and the forest, stars over sunlight.
aime: la forêt, l'extérieur, l'odeur du sapin, la pluie, le vert, le brun, le bois, les livraisons ubereats, les montagnes, la cigarette, faire des doigts d'honneur, laisser sa chemise ouverte de quelques boutons, sa meilleure amie (presque tragique), faire des blagues idiotes, faire les cents coups, les canards, les ours, la faune, protéger tout ceux qui entre dans sa vie, les jeans troués, les colliers de type chaînes, les ours en peluches, les fêtes foraines, les jeux de dards, les couteaux suisses (très pratique).
déteste: le métier de son père, le vide qu'à laisser sa mère, ne pas savoir comment gérer ses sentiments, les feux de forêt, les moustiques, les pâtisseries trop sucrés, les cupcakes, son téléphone intelligent qui termine toujours par se brisé malgré le nombre de vitre de protection qu'il achète, le café sans sucre et sans lait, la banane, se faire comparer à un singe (ce qui explique, en parti, pourquoi il n'aime pas la banane), les armes à feux, les bougies parfumés.
thanatophobie: correspond à la peur irrationnelle de la mort, autant celle de ses proches que sa propre mort. Trouble anxieux déclenché par l'exposition d'un individu à un objet ou à une situation en lien avec la mort. daddy please - Une relation des plus complexe avec son paternel. Conflictuelle à souhait, qui est digne d'une série soap dont la fin des péripéties ne semble jamais prendre fin. Ce père qui est policier et ne voit que son travail sans vraiment porter attention à son fils. Cette envie de rébellion qui s'empare d'un Boone adolescent. Fouteur de trouble, à faire les cents coups et manquer se faire renvoyer du lycée, mais heureusement que papa vient le sauver. Le fils de, un statut trop lourd à porter. Connu comme le fils de policier, puis comme le délinquant. Le premier statut, il aurait aimé pouvoir l'effacer, faire arrêter les autres enfants de rire de lui ou murmurer entre eux quand ils passaient proche de lui. Parce que les autres ont peur de s'approcher, de côtoyer celui dont le père est strict, à la stature de géant. Le héro versus l'antihéros. Il apprend même à détester la police, à ne pas aimer la façon qu'ils traitent les autres. Proteste avec ses amis pour le mouvement Black Lives Matters, sachant très bien que son père fait parti du problème. Il prend encore plus parti du mouvement pour les Asiatiques, étant cambodgien de par sa défunte mère. Une caractéristique qui semble ne pas plaire à son père, mais dont il est si fier. Un héritage qu'elle a laissé et qu'il se doit de continuer. protect or protect - Contrairement au serment de la police qui stipule qu'il faut "servir et protéger", le rôle de Ranger lui permet de protéger et protéger encore plus. Une envie de vouloir aider depuis sa plus tendre enfance. Que ce soit avec sa mère lorsqu'elle est tombée malade, le chien blessé qu'il avait trouvé à douze ans et qu'il avait remit entièrement sur patte, sa meilleure amie lors de toutes situations ou bien la nature tout simplement. Le réchauffement climatique qui ne peut pas être évité, le problème bien réel. Il n'en faut pas plus pour que Boone se décide à rentrer dans les rangs de Ranger. C'était soit cela ou bien l'armée. La première option lui permet d'être plus libre, de pouvoir continuer de protéger ceux à qui il tient sans forcément devoir les inquiéter. Cet amour de la nature, de l'extérieur, des conifères, de l'odeur de l'écorce et de l'épinette, mais surtout, ce sentiment profond qu'il accomplit une mission, qu'il fait parti d'un mouvement plus grand que lui. fashion style - Il a beau être poli, gentil, avoir la main sur le coeur, mais Boone ne sait pas boutonner ses chemises comme il le faut. Presque une addiction chez lui, de devoir montrer son torse musclé, fier de lui, des efforts qu'il fait à la salle d'entraînement, faisant même exprès de faire des pompes ou des tractions pour le plaisir de voir la réaction d'autrui. Que ce soit avec un simple jean, ou avec un habit plus formel, la peau doit être vue pour qu'il se sente à l'aise. Comme si l'habit était contraignant pour lui, l'empêchait de bouger convenablement. Question de préférence, seulement. Le type qui met ses lunettes de soleil dans la fente de sa chemise pour la faire descendre un peu et créer un style plus réfléchi. Le blanc et le jean sont souvent des éléments qui reviennent. Un t-shirt ou une camisole bien moulé pour montrer ses abdominaux. the smoke is a methaphor - Se rappeler exactement de la date qu'il a commencer à fumer la cigarette est presque impossible, mais au moins, il se souvient pourquoi. Une remarque de son père lorsqu'il avait 16 ans a suffit pour qu'il décide de demander à son oncle de lui en procurer. Depuis ce jour, la fumée est devenue un mécanisme de défense ultime pour tout, se retrouvant souvent à l'extérieur de sa petite maison pour lâcher la pression. Sans exactement pouvoir comprendre, le bien et le soulagement que lui procure le tabac n'est comparable à rien d'autre. Le matin avec un café, le soir avec un whisky. Quand il apprend une mauvaise nouvelle, ou qu'il cherche à fuir une conversation ou une situation. L'excuse parfaite. Métaphore qui illustre cette peur de l'abandon et de la mort. La fumée montre qu'il respire, soufflant l'épais brouillard hors de ses lèvres lui procure une relaxation plus complète que n'importe quelle forme de méditation. C'est une mauvaise habitude, mais il ne peut pas se convaincre d'arrêter. she, an angel in many forms - Un duo complètement chaotique mais qui fonctionne si bien. Elle, ce réconfort et ce soleil qui illumine sa vie. Apparue au bon moment avec son sourire légendaire et cheveux blonds luisant. Un seul regard leur a suffit en maternelle pour comprendre qu'ils seraient amis jusqu'à la fin des temps. Des rires en plein milieu d'une leçon importante, des petits mots échangés lors des classes ennuyantes, des regards complices lors des blagues nulles des professeurs. Elle est la seule personne dont il ait besoin, refusant presque les autres amitiés car aucune n'équivaut celle qu'il possède avec elle. Des dessins à la craies sur le sol des Tate, des jeux de marelles et de mains, les meilleurs au saut à la corde, s'inventant même des chorégraphies pour impressionner les autres élèves. L'enfance qui se transforme en adolescence, la puberté qu'ils se prennent plein la figure. Première petite amie qu'il trouve légèrement trop superficielle à toujours admirée son reflet dans la glace. Rosy n'est pas comme ça, Rosy n'a pas besoin de toujours se regarder. La jalousie qui est présente quand elle a son premier petit ami, elle aussi. Il se demande si c'est une vengeance, pousse la pensée plus loin dans son crâne. Vient la première cuite, la première fête alcoolisé. Un baisé, un court moment qui ne dure pas assez longtemps. Un déclic absolu. Une Rosy qui projette son dernier repas au sol quelques secondes après. Sympathique. Tous deux semblent oubliés l'événement, refusant d'en parler. Mais, rien n'est oublié. Le contraire. Vient la vie adulte qui met aux oubliettes les sentiments. N'ayant d'autre choix que de continuer sa vie de son côté, ayant toujours sa Rosy, son petit canard, près de lui, qui est sa meilleure amie, la meilleure de tous. Boone, le premier à venir l'encourager, à la supporter, à lui dire de tenter le tout pour le tout. Elle devrait le voir dans ses yeux, que chaque fois que son regard croise le sien son coeur fait un bond, que le sourire qui apparait sur ses lèvres n'est que pour elle. Que sans elle, il ne serait pas complètement comblé ou l'homme qu'il est aujourd'hui. L'envie de la protéger, de s'assurer que rien ne lui arrive. Pourtant, il voit son coeur se brisé, sa voix s'élevé, ne pouvant rien faire sauf être celui qui la prend dans ses bras, sèche ses larmes, lui dit que tout ira bien, mais ayant secrètement envie d'aller refaire le portrait du pauvre type qui a oser la mettre dans cet état. Cette envie de crier que, merde, il ne veut pas être celui qui doit la consoler, mais être la personne qui l'embrasse, qui lui susurre des mots doux, qui prend soin d'elle d'une façon si pure. Être son compagnon ultime. Hier, maintenant, demain. La lâcheté, ou bien simplement la peur de perdre l'être cher, le pousse à garder le silence, préférant souffrir dans des non-dits, dans des regards qui veulent tout dire mais que ni elle, ni lui, ne sont prêt à admettre. L'évidence pure, qu'ils ont un bon nombre de fois poussé du revers de la main avec des ricanements de hyènes. Le fou rire absolu. Elle? Avec lui? Jamais! De la folie!